Dans le parc solitaire

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Acrylique sur toile

Taille : 54H/65L/2 cm – 900€+ frais de livraison

En référence au poème de Paul Verlaine « Colloque sentimental » « Fêtes galantes »

« Dans le parc solitaire est glacé,

Deux formes ont tout à l’heure passé… »

Dans ce parc solitaire les ombres ont passé, les vieilles personnes ne s’assoient pas sur un banc pour discuter ;

Les enfants ne courent pas dans les allées en criant et en se poursuivant ;

Les amoureux ne s’embrassent pas dans un coin calme.

L’épidémie est passée par là, les humains se cachent derrière leurs fenêtres, dans leurs maisons et leurs immeubles.

Malgré des couleurs douces, ce tableau est empreint de mélancolie, de poésie comme le poème de Verlaine. Il joue avec le contraste entre la douceur des camaïeux et le sujet, celui d’un parc vidé de ces habitants.

J’ai voulu un parc dépouillé, sans artifices, pour montrer cette solitude et ce vide émotionnel que nous vivons en cette période 2020-2021.

Un arbre (à droite) est mort, celui de gauche, malgré quelques feuilles tente de résister au temps qui passe.

Seules les maisons au fond du tableau apportent un peu de chaleur et de gaité à l’ensemble, par leur couleur rouge brique et blanche ; il s’agit du cœur de la vie, le foyer qui continue à battre.

On passe visuellement de la terre au premier plan, au ciel en passant par les verts de la pelouse et les feuillages des arbres. Les arbustes ne sont que suggérées et se fondent dans les verts des grands arbres que l’on imagine.  

Daté, signé, prêt à accrocher au mur
Ce tableau est protégé par un vernis acrylique brillant et un entourage de ruban blanc cache-clous.
Livré avec un certificat d’authenticité et facture

Acrylic on stretched nailed canvas

Size: 54H/65W/2D cm

“In the deserted parc”; From the Poem of French poet, Paul Verlaine “Colloque sentimental”

On this deserted parc, no old people are sitting on a bench anymore to talk; no children are running after their mates; no cries.

No lovers are kissing in a quiet corner.

The coronavirus epidemic has come and obliged people to stay indoors behind their windows, in their houses, in their buildings.

Although the use of camaïeu of green gives the painting a warm melancholy, it is balanced by the solitary expression of the parc. I wanted to convey an emptiness without any artifice for the parc.

The trees are suggested at the back of the painting; the tree at the front of the painting on the right seems dead, the other of the left tries to resist the passage of time.  

Only the houses at the back are alive with bright colours on a blue sky. There are the centre of life; the “foyer”: meaning home and heat at the same time.

Ready to hang on a wall; protected by a bright acrylic varnish; The sides of the painting are protected by a white ribbon: no need to frame

delivered with an invoice and a certificate of authenticity

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